Titre : |
Quelle place pour la subjectivité du malade dans la pratique médicale ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
L. Combres, Auteur ; A. Guillen, Auteur |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 65-70 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
[Thesaurus n°1] éducation [Thesaurus n°1] parent [Thesaurus n°1] paternalisme [Thesaurus n°1] psychanalyse
|
Mots-clés : |
Récit de témoignage Relation médecin-patient |
Résumé : |
La médecine expérimentale produit un savoir sur l’objet maladie, mais nécessite d’exclure la subjectivité du patient. Cette exclusion a été redoublée par la médecine paternaliste qui pouvait laisser le malade en dehors des décisions concernant ses soins. Le sentiment de certains malades de ne pas être entendu les a amenés à réaffirmer leur demande de participer de manière plus active aux soins. Cette demande a été prise en compte par la Loi du 4 mars 2002 : le savoir du médecin doit être mis à la portée du malade. L’éducation thérapeutique connaît dès lors un nouvel essor, car elle donne accès aux connaissances médicales pour acquérir un certain pouvoir sur la maladie. |
Permalink : |
https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=108306 |
in Ethique et santé > n°2 (Juin 2020 Vol. 17) . - p. 65-70