Résumé : |
Malgré un intérêt sociétal croissant et un enrichissement progressif de la description séméiologique des troubles psychiques post-traumatiques dans les mondes anglophones et francophones contemporains, le sous-diagnostic et les diagnostics tardifs, au stade des souffrances intenses, restent nombreux. En effet, les origines post-traumatiques des troubles sont le plus souvent tues, du fait même de leurs caractéristiques cliniques souvent entendues comme « indicibles », tel que le dit la littérature. Comment parler de son trauma ? Est-ce vraiment possible ? |