Résumé : |
Le lien entre neurophysiologie et psychiatrie est complexe, d’une part en raison des variétés des approches neurophysiologiques, qu’elles procèdent de la neurophysiologie « sèche » ou « humide » et, d’autre part, en raison du difficile positionnement de la psychiatrie en médecine. L’argument que nous développons dans ce texte est celui de la mise en regard problématique d’une psychiatrie dont la stabilité nosologique est loin d’être assurée et d’une neurophysiologie dont les avancées font surgir des mythologies sans cesse renouvelées. Ainsi il apparaît que la neurophysiologie n’apporte que peu à la psychiatrie. |