Résumé : |
Du projet migratoire aux premières expériences en exil se construit un parcours métissé où les représentations culturelles tiennent une place centrale quant à la gestion des aléas du parcours migratoire. Ces représentations prennent une place et un sens particulier au crépuscule de la vie. La clinique transculturelle, dans une référence au différent, permet de comprendre combien, en opposition ou en rupture, celle-ci s'exprime de façon prévalante par la souffrance humaine. |