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Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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21502 | CDMA | Périodique | CDMA | Documentaire | Disponible |
Dépouillements


Prévalence du jeu pathologique chez les étudiants libanais / C. Etel in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Prévalence du jeu pathologique chez les étudiants libanais Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Etel ; S. Tabchi ; R. Bou Khalil Année de publication : 2013 Article en page(s) : 1-5 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesaurus n°1] Liban Mots-clés : Jeu pathologique Prévalence Étudiants Résumé : Le jeu pathologique est une dépendance comportementale aux jeux du hasard, classé parmi les troubles de contrôle des impulsions dans le DSM-IV-TR. La prévalence mondiale du jeu pathologique varie de 2 à 6 % (Petry, 2005 [1]) et a des répercussions non négligeables sur l'individu et sur son entourage. La prévalence au sein des étudiants au Liban manque aux statistiques nationales, d'autant plus que le problème du jeu pathologique prend une ampleur importante chez ce groupe de jeunes libanais.Matériel et méthodes : Quatre cent soixante-dix-sept questionnaires ont été retenus des campus des cinq plus grandes universités libanaises privées. Le questionnaire s'est basé principalement sur le South Oaks Gambling Screen (SOGS). Résultats : Parmi les 477 étudiants qui ont rempli le questionnaire, 5,87 % se sont avérés être des joueurs pathologiques, 25,15 % présentent certains problèmes liés au jeu et 68,92 % sont des personnes sans problème de jeu. Conclusion : Cette étude étant la première de son genre au Liban, elle offre un bon aperçu sur le jeu pathologique, mais des études visant la population générale sont souhaitables. Elle montre que la prévalence du jeu pathologique au sein des étudiants libanais est non négligeable, et incite la mise en ?uvre de programmes de prévention et de sensibilisation à cette pathologie potentiellement destructrice. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77905
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 1-5 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Les facteurs liés aux tentatives de suicide dans une population tunisienne de patients atteints de schizophrénie / S. Bouhlel in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Les facteurs liés aux tentatives de suicide dans une population tunisienne de patients atteints de schizophrénie Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Bouhlel ; M. M'solly ; S. Benhawala Année de publication : 2013 Article en page(s) : 6-12 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesaurus n°1] prévention
[Thesaurus n°1] Troubles psychotiques:SchizophrénieMots-clés : Facteur de risque Tentative de suicide Résumé : Les conduites suicidaires constituent un phénomène universel influencé par des facteurs biopsychosociaux et culturels. Dans le cas de la schizophrénie, certaines études ont montré des différences sociodémographiques et cliniques entre des populations issues de cultures différentes alors que d'autres n'ont pas montré de telles différences.Objectifs : Les objectifs de cette étude étaient d'évaluer la prévalence et les caractéristiques des tentatives de suicide (TS) dans une population hospitalière de patients tunisiens atteints de schizophrénie et d'étudier les différentes variables associées.Méthodes : Nous avons inclus 134 patients atteints de schizophrénie (DSM-IV) et comparé les variables sociodémographiques, cliniques et thérapeutiques selon l'existence ou non d'antécédents de TS.Résultats : La prévalence des TS était de 32 %. La moitié (49 %) des patients ayant fait une TS avaient récidivé. Les TS étaient en rapport avec un contexte dépressif (60 %), des événements de vie (46 %) et/ou une symptomatologie psychotique (32,5 %). Les moyens physiques et non physiques étaient utilisés de façon égale (49,4 % versus 50,6 %) avec en premier l'ingestion médicamenteuse volontaire (23,4 %). Venaient par la suite le saut d'une hauteur (19,5 %), l'intoxication aux organophosphorés (14,3 %) et à fréquence égale l'utilisation d'un objet tranchant (9,1 %) et la pendaison (9,1 %). Les facteurs associés aux TS étaient une durée de psychose non traitée supérieure ou égale à un an (p < 0,001), le tabagisme masculin (p = 0,03), une symptomatologie positive (p < 0,001), la présence de signes extrapyramidaux (p = 0,029) et la mauvaise observance thérapeutique (p = 0,02).Conclusion : Selon cette étude les facteurs sociodémographiques et culturels ne semblaient pas d'une grande influence sur les TS observées dans la schizophrénie. La prévention de telles conduites devrait passer par un diagnostic précoce de la maladie, la r Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77906
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Validation de la version en arabe dialectal de l'échelle d'impulsivité de Barratt, la BIS-11 / F. Ellouze in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Validation de la version en arabe dialectal de l'échelle d'impulsivité de Barratt, la BIS-11 Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Ellouze ; Olfa Ghaffari ; O. Zouari Année de publication : 2013 Article en page(s) : 13-18 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesaurus n°1] violence Mots-clés : Études de validation Impulsivité Psychiatrie médico-légale Résumé : Le concept d'impulsivité bénéficie d'un intérêt croissant. La psychiatrie légale en est particulièrement concernée. En effet, l'impulsivité est reliée à la violence des malades psychiatriques. L'impulsivité confronte aussi l'expert psychiatre au délicat problème de l'évaluation de la responsabilité et apparaît comme indétournable dans l'évaluation de la dangerosité des malades mentaux. Le but de ce travail est la validation en arabe dialectal de l'échelle de Barratt dans sa plus récente version, la Barratt Impulsiveness Scale (BIS-11). On a recherché, dans un second temps, la prévalence et les éventuels facteurs démographiques associés à l'impulsivité au terme de la BIS-11 dans un échantillon représentatif de la population tunisienne. Il s'agit d'une étude prospective ayant inclus 134 personnes de la population générale après avoir eu leur consentement. La version en arabe dialectal a été réalisée grâce à la méthode de traduction-retraduction. On a apprécié la validité externe et la validité interne en calculant le coefficient de Cronbach. Dans une seconde étape, nous avons évalué la prévalence de l'impulsivité et ses éventuelles corrélations avec les facteurs démographiques. La version arabe de la BIS-11 a montré une bonne validité apparente et une bonne fiabilité avec des valeurs respectives du coefficient alpha de Cronbach de 0,66 pour l'impulsivité cognitive, 0,72 pour l'impulsivité motrice, 0,61 pour l'impulsivité non planifiée et 0,78 pour l'impulsivité totale. La prévalence de l'impulsivité est de 9 % dans notre population. On n'a pas retrouvé de corrélation significative entre les différents facteurs démographiques et les scores d'impulsivité. Nos résultats ont montré une bonne validité apparente et interne de la version arabe de la BIS-11. Cette version pourra ainsi être utilisée dans l'estimation de la dangerosité de nos patients. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77907
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 13-18 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Les facteurs de risque environnementaux de la schizophrénie / Jeanne Vilain in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Les facteurs de risque environnementaux de la schizophrénie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jeanne Vilain ; A.-M. Galliot ; J. Durand-Roger Année de publication : 2013 Article en page(s) : 19-28 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesaurus n°1] Troubles psychotiques:Schizophrénie Mots-clés : Facteurs de risque environnementaux Risque relatif Interaction gène-environnement Résumé : L'impact de facteurs de risque environnementaux met aujourd'hui l'environnement au c?ur des modèles étiopathogéniques de la schizophrénie. Divers facteurs d'environnement tels que l'urbanicité, la migration, le cannabis, les traumatismes infantiles, les complications obstétricales et les facteurs psychosociaux, ont été associés au risque de survenue de troubles schizophréniques. Certains agissent au niveau de l'individu, d'autres agissent au niveau d'un groupe de population et viennent moduler le risque individuel. Par ailleurs, ces facteurs peuvent être directement liés à l'augmentation de la survenue des troubles ou être des marqueurs associés à d'autres facteurs plus directement impliqués, mais non encore identifiés. Cette revue de la littérature présente pour chacun des facteurs de risque, l'importance du risque, la période vulnérable et les hypothèses concernant le mécanisme d'action en indiquant le niveau de preuve dont nous disposons. Les facteurs étudiés sont tous associés à un risque augmenté de survenue de troubles schizophréniques. Le risque relatif associé à ces facteurs est modéré, mais l'exposition à ces facteurs concerne une large proportion de la population générale, leur risque attribuable est donc important (jusqu'à 35 % pour l'urbanicité). En ce qui concerne le mécanisme d'action, l'état actuel des connaissances ne permet pas de déterminer s'il existe une voie d'action commune ou si chaque facteur a une voie propre. Il est nécessaire de poursuivre les études concernant ces différents facteurs dans des contextes variés en les intégrant dans un modèle d'interaction entre facteurs d'environnement et entre gènes et environnement. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77908
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 19-28 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Troubles du comportement et troubles fonctionnels du nourrisson : caractéristiques, interactions mère-enfant, alliance et évolution après une psychothérapie brève parent-enfant. Étude pilote / M.-J. Hervé in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Troubles du comportement et troubles fonctionnels du nourrisson : caractéristiques, interactions mère-enfant, alliance et évolution après une psychothérapie brève parent-enfant. Étude pilote Type de document : texte imprimé Auteurs : M.-J. Hervé ; A. Jaussent ; M. Paradis Année de publication : 2013 Article en page(s) : 29-37 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Troubles fonctionnels Troubles du comportement Jeune enfant Interactions mère-enfant Alliance thérapeutique Résumé : Les objectifs de cette étude étaient, dans une population de 49 jeunes enfants âgés de trois à 30 mois présentant des troubles fonctionnels (TF) et/ou du comportement, d'évaluer après une intervention thérapeutique brève l'évolution de l'enfant, des parents et des interactions mère-enfant et de comparer les enfants avec et sans trouble du comportement afin de mieux comprendre pourquoi les enfants avec des troubles du comportement (TC) évoluent moins bien que les autres. Deux évaluations ont été effectuées, l'une avant le traitement, l'autre un mois après la fin de la thérapie, incluant une évaluation des symptômes de l'enfant, des symptômes anxieux et dépressifs des parents, des interactions mère-enfant et de l'alliance thérapeutique. Les résultats montrent une amélioration des symptômes de l'enfant, des symptômes anxieux et dépressifs de la mère et des symptômes anxieux du père. Sur le plan des interactions, les mères deviennent plus sensibles, le nombre de mères contrôlantes et non disponibles diminue, tandis que les enfants deviennent plus coopératifs et moins passifs. Les enfants avec des problèmes de comportement sont plus âgés, avec un âge de début des troubles plus tardif. Ils ont avant la thérapie des mères ayant plus de symptômes anxio-dépressifs que ceux présentant des problèmes fonctionnels. L'alliance thérapeutique, évaluée par la mère à la première consultation, est plus basse. Après la thérapie, ces enfants ont une moins bonne évolution et leurs mères restent plus anxieuses et moins sensibles. Cette étude souligne certaines particularités des jeunes enfants présentant des TC et confirme la plus grande difficulté à les traiter. Il apparaît nécessaire d'élaborer des prises en charge spécifiques. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77909
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 29-37 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Toxoplasma gondii : un rôle potentiel dans la genèse de troubles psychiatriques. Une revue systématique de la littérature / Guillaume Fond in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Toxoplasma gondii : un rôle potentiel dans la genèse de troubles psychiatriques. Une revue systématique de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume Fond ; D. Capdevielle ; A. Macgregor Année de publication : 2013 Article en page(s) : 38-43 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesaurus n°1] personnalité
[Thesaurus n°1] Troubles psychotiques:SchizophrénieMots-clés : Toxoplasma gondii Trouble obsessionnel compulsif Étiopathogenèse Résumé : La toxoplasmose acquise est une infection parasitaire qui touche l'ensemble des cellules cérébrales lors de la phase aiguë. Il paraît donc surprenant que cette infection soit sans conséquence sur le fonctionnement du cerveau de l'individu infecté. Nous nous proposons ici de faire une revue de la littérature des modifications neurologiques induites par le parasite chez l'animal, ainsi que de l'ensemble des modifications psychiatriques chez l'homme significativement associées à une infection à Toxoplasma gondii. D'après les données de la littérature, les plus probantes concernent l'association entre la toxoplasmose et le déclenchement d'une schizophrénie : les sujets souffrant d'un premier épisode psychotique lors du déclenchement d'une schizophrénie ont 2,7 fois plus de chances d'avoir une sérologie positive que les sujets sains. Certains traitements antipsychotiques font, de plus, diminuer les taux d'immunoglobulines G antitoxoplasmiques in vivo, et ont démontré une action antiparasitaire in vitro. Mais les conséquences de l'infection toxoplasmique acquise ne semblent pas s'arrêter à la schizophrénie, puisque d'autres résultats significatifs ont été récemment rapportés dans des populations de patients atteints de troubles obsessionnels compulsifs. Des modifications de traits de personnalité ont également été rapportées. Les études sur les conséquences psychiatriques de l'infection acquise à T. gondii doivent être poursuivies, pour mieux comprendre les mécanismes des modifications cérébrales induites par le parasite, explorer l'ensemble des pathologies psychiatriques, dont le premier épisode pourrait statistiquement être associé à une sérologie toxoplasmique positive, et pour savoir si cette sérologie positive doit orienter le clinicien vers la prescription d'un traitement psychotrope à activité antiparasitaire, comme l'halopéridol et l'acide valproïque. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77910
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 38-43 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Place de l'inhibition dans le trouble obsessionnel-compulsif / M. Dupuy in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Place de l'inhibition dans le trouble obsessionnel-compulsif Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Dupuy ; F. Rouillon ; C. Bungener Année de publication : 2013 Article en page(s) : 44-50 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble obsessionnel-compulsif Inhibition Modèles neurocognitifs Résumé : La nature des mécanismes neuropsychologiques sous-jacents à l'expression symptomatique du trouble obsessionnel-compulsif reste encore à déterminer. Nombreuses sont les études qui mettent en évidence des déficits cognitifs mais la diversité des méthodologies et la mixité des sous-types cliniques empêchent de dégager des constantes en termes de profil neurocognitif. Les études qui se sont attachées à l'examen des fonctions exécutives accordent toutefois une importance au rôle exercé par l'inhibition et la flexibilité cognitive dans l'expression symptomatique du trouble obsessionnel et compulsif (TOC). La plupart d'entre elles mettent en évidence un défaut d'inhibition et une altération de la flexibilité cognitive qui pourraient rendre compte du caractère inflexible et répétitif des pensées et des actes commun à toutes les formes du TOC. L'objectif de cet article est de réunir des arguments de la littérature qui plaident en faveur de l'hypothèse d'un déficit d'inhibition et de flexibilité cognitive. La première partie est consacrée à l'approche théorique neuropsychologique plaçant l'inhibition et la flexibilité comme médiateur prometteur pour la compréhension du TOC. En seconde partie, nous passerons en revue des études utilisant différentes mesures de l'inhibition et la flexibilité, dont les résultats vont dans le sens de cette hypothèse. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77911
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 44-50 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible La traversée traumatique d'un enfant migrant à l'école / Daniel Derivois in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : La traversée traumatique d'un enfant migrant à l'école Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Derivois ; N. Jaumard ; A. Karray-Khemiri Année de publication : 2013 Article en page(s) : 51-58 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Interculturalité Méthodes projectives Symbolisation Latence Migration Résumé : À l'école, l'enfant migrant est confronté à un travail intense de symbolisation qui articule le vécu migratoire, le vécu familial et la disponibilité de l'environnement scolaire à l'accueillir au-delà de sa mission première d'enseignement. Cet article a pour but de montrer la complexité des processus en jeu dans la psyché de l'enfant et discute des aspects liés à la période de latence ainsi qu'aux problématiques interculturelles. L'étude est réalisée à partir de l'examen psychologique d'un enfant migrant de sept ans, rencontré dans le cadre scolaire. Ces rencontres ont eu lieu suite à des difficultés soulignées par l'école concernant cet enfant. Les données issues des entretiens avec la maîtresse, la mère et l'enfant révèlent l'incompréhension et la non-disponibilité psychique de la mère, la répétition de la défaillance d'étayage par l'école ainsi que l'effort de l'enfant pour symboliser l'expérience migratoire et prémigratoire. L'analyse révèle différents types de traversées : la traversée familiale, la traversée institutionnelle, la traversée projective qui imposent à la psyché un travail de réorganisation des vécus antérieurs. La discussion soulève certains enjeux migratoires de la période de latence ainsi que certains problèmes liés au changement de contexte culturel. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77912
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 51-58 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Corticothérapie prolongée et troubles anxieux et dépressifs. Étude longitudinale sur 12 mois / M. Barrimi in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Corticothérapie prolongée et troubles anxieux et dépressifs. Étude longitudinale sur 12 mois Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Barrimi ; Dominique Gbindoun Assogba ; Chadia Aarab Année de publication : 2013 Article en page(s) : 59-65 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticothérapie prolongée Troubles dépressifs Troubles anxieux Dermatoses chroniques Résumé : Les troubles anxieux et dépressifs iatrogènes aux corticoïdes sont fréquents, sous estimés et ont des conséquences graves pouvant mettre en jeu le pronostic vital du patient. Les études portant sur ces troubles sont rares et leur prise en charge n'est pas encore consensuelle.Objectifs : L'objectif de notre travail est de déterminer la prévalence des troubles anxieux et dépressifs induits par les corticoïdes, évaluer leur imputabilité à la corticothérapie et rechercher les facteurs de risque associés. Méthodes :Nous avons mené une étude longitudinale prospective sur 12 mois évaluant la prévalence des troubles anxieux et dépressifs chez des patients suivis pour une dermatose chronique et traités par une corticothérapie prolongée. Nos patients ont été évalués à l'aide des instruments standardisés : le Mini International Neuropsychiatric Interview (MINI) ; l'échelle d'anxiété de Hamilton (HAS : Hamilton Anxiety Scale) et l'inventaire de Beck de dépression (BDI : Beck Depression Inventory).Résultats : Parmi 54 patients inclus, notre étude a montré une prévalence élevée des troubles anxieux et dépressifs estimée à 27 % ; ces troubles étaient repartis en trouble dépressif dans 16 % des cas, et trouble anxieux dans 11 % des cas. On a constaté l'installation précoce de ces troubles durant les premières semaines du traitement. Les facteurs de risque statistiquement significatifs étaient les antécédents psychiatriques personnels du patient et la posologie de la corticothérapie. Par ailleurs, on note une prévalence élevée des troubles chez les patients dont l'âge est supérieur à 40 ans, le sexe féminin, et les patients traités pour pemphigus profond. L'évolution après traitement pharmacologique et psychothérapie de soutien était favorable chez la majorité des patients .Conclusion : L'évaluation psychiatrique avant la prescription des corticoïdes au long cours doit être de pratique courante pour détecter les patient Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77913
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 59-65 p.[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21502 CDMA Périodique CDMA Documentaire Disponible Troubles bipolaires et troubles anxieux comorbides : impact pronostique et enjeux therapeutiques / F. Cazard in L'encéphale, Vol 39. Fas 1 Fév. (2013)
[article]
Titre : Troubles bipolaires et troubles anxieux comorbides : impact pronostique et enjeux therapeutiques Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Cazard ; Florian Ferreri Année de publication : 2013 Article en page(s) : 66-74 p. Note générale : Reçu le 19 Février 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : troubles bipolaires Troubles anxieux Comorbidité Risque suicidaire Stratégies thérapeutiques Résumé : Les troubles anxieux sont l'une des principales comorbidités rencontrées chez les patients souffrant de maladie bipolaire. De nombreuses études cliniques et épidémiologiques montrent une prévalence accrue des pathologies anxieuses (trouble anxieux généralisé, phobie sociale, trouble obsessionnel-compulsif, trouble panique et état de stress post-traumatique) chez les sujets bipolaires au regard des fréquences en population générale. Dans l'étude américaine de la National Comorbidity Survey (NCS), la comorbidité vie entière avoisine les 90 %. Deux études cliniques françaises récentes montrent l'existence d'au moins un trouble anxieux chez environ 25 % des sujets bipolaires (24 % et 27,2 %). La comorbidité anxieuse doit donc être recherchée attentivement. Les troubles anxieux ne sont pas sans conséquence sur le cours évolutif du trouble de l'humeur, avec notamment une réduction significative du temps d'euthymie, une moindre sensibilité aux thérapeutiques médicamenteuses classiques ou une majoration conséquente du risque suicidaire. Au plan chimiothérapique, les essais menés sont encore peu nombreux. La prise en charge de la comorbidité anxieuse se heurte à deux écueils : le risque de virage maniaque sous antidépresseurs et celui de l'installation d'une pharmacodépendance aux anxiolytiques de type benzodiazépines. Néanmoins, les données disponibles à ce jour pointent l'intérêt des antipsychotiques atypiques et de la lamotrigine en traitements adjuvants. L'accent est également mis sur les approches non médicamenteuses, dont les thérapies cognitivo-comportementales et de psychoéducation pour les plus évaluées d'entre elles. Permalink : https://ch-poitiers.fr/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77914
in L'encéphale > Vol 39. Fas 1 Fév. (2013) . - 66-74 p.[article]Réservation
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